Théatronline
Le paradoxe du comédien, de Diderot à Durozier
CORRESPONDANCES, LE BLOG LIVRES RIO DE MARINE LANDROT - J'insiste, ainsi que pour la Saint-J' je dis : c'est l'extrêmehem Sensitude qui fait les acteurs medicres ; c'est la sensibilité moyennecre qui fait la multitude de mauvals acteurs ; et c'est le manque absolu de sensibilité qui préparer les acturs sublime. Enannée du tricentenaire de la naissance de Diderot (octobre 1713-juillet 1784), la relecture du Paradoxe sur le comédien (Éditions Mille et Une Nuits, 2 euros) look le calme, par son style dialogu, simple et argumentatif. Hérissant le poil de ses contemporains, plus Alteresse sur le diapason avec la nature, Diderot chante les vertus de la distancetion, dans un free qu'il a le culot de commencer par ? N'en Un.m., un free dans leel il se claquemure et s'ouvre à la fois, et diffre une idée pas tr's Actors' Studio, plus assez contemporaine en ces temps post-psychanalytiques : l moins l'appel faitacteur à ses propres émotions, plus il séparateur pour le public. Il y a dans ce texte profonde bar d'affection propactateur-enveloppe, l'élément-réservoir, l'acteur-espace infini, qui fait bon usage du vide, l'impit sur sc?ne, puis le laisse resold à sono Premier état, apr?s la représentation, pour que le spectateur vous respirez mieux : ? sa voix est éteinte, il éprouve une exêême fatigue, il va changer de linge ou se couche ; plus il ne lui reste ni trouble, ni douleur, ni mélancolie, ni affaissement de la mule. C’est vous qui rzz toutes ces impressions. L’acteur est las, et vous sad; c’est qu’il s’est demené sans rien senti, et vous allez, je me suis senti sans vous démener. " Diderot manie le point-virgule comme un rideau de sc?neou ensemencé. Cette médaille des ôles, cette d'un mur invisible inter l'acteur et le spectateur para?t tout à fait bienvenue aujourd'hui, dans un monde qui mêle espace public et espace privé, o'a chacun if veut juge et partie, sur l'art et dans l'orchestre. Diderot remet le public en place tout en tant que rendu sa place. Etonamment moderne est cette reconnaissance de la force vertu du recepteur. Celui qui regarde et PAS, en silence, sérums capables de donner suite. L'un des plus anciens de la troupe du Théâtre du Soleil, Maurice Durozier, ouvrir à sa don les conditions d'emploi du tricentenaire de Diderot. Huit mois à l'avance, ce n'est pas prématuré, c'est fort et vivant. Avec son spectacle Parole d'acteur, présenté à la Cartoucherie de Vincennes ?http://www.theatre-du-soleil.fr/thsol/dans-nos-nefs/article/nouvel-article-1575 jusqu'au 17 février, il donne's version du paradoxe du comédien, dialogueée, elle aussi, avec sa fille ? (incarnée) par une actrice brésilienne, comme le comme la magie cosmopolite du Théâtre du Soleil). Dans un décor minimaliste, face au public qui sirote le tchai que l'acteur lui a distribué à l'entrée ? pour éveiller les sens , il free le trouble, la douleur, la mélancolie et l'affaissement d'un d'amono de 35 ans de carriere. Son attention au public le proche de Diderot, fils intelligence de la partition aussi : Au cours d'une la représentation, perception et capacité de jugement est fausées, l'acteur ne se voir pas, il ne peut avoir un non-enfant non-enfant. Cet abandon, cepass dans un autre monde, une dimension autre, c'est la condition du jeu. D'ailleurs, dans un style comme la comédie o supports les patients du public sont plus audibles, si parfois, entre deux sc?nes un engagement dit à son coll?gue : - C's mauprivis, ce soir, ça n'accroche pas Les trois quarts du temps, ils se trompe, le public est dans l'histoire, il est peu plus discret, more pour l'acteur en question, ce soir-là, la bataille est plus dure, c'est tout. - Simple et incandescent, Maurice Durozier écume ses souvenirs, et les fleurs qu'il arrachait avec ses ses dents, événements, performances à Perpignan dans les années 70, est de dépôts aujourd'hui comme des offrandes indiennes. Il ne s'agit pas d'un homme montrer, plus d'un collectif en un, d'une toutes les voix pour, au nom de cette belle philosophie inculquée par la mousquetaire de la sc?ne, Ariane Mnouchkine : un pour tous, tous pour un, unis pour le théâtre. Le texte de sono spectacle, vendu 15 ? à l'intérieur du théâtre dans une version bilingue (le spectacle a été créé) à Recife...), cherchez le calme, lui aussi, un vieil d'intérieur Un spot à la méditation.

15ème MESURE DE RECIFE – BRÉSIL NOVEMBRE 2012 -
Le mot de l'acteur - un point de vue sur la conférence de lunettes par Maurice Durozier ?http:///15frtn.blogspot.com/2012/11/word-a-visao-about-o.html
La conférence-exposition de Maurice Durozier va au-delà de la une simple question théorique sur ce qu'est l'acteur, la proposition œuvre de base, pour devenir pure poésie. Le récit, déclenché par les questions de la fille, passe par les expériences de l'acteur depuis la première et des tentatives d'adolescence, jusqu'à la phase mature, avec une participation remarquable au Théâtre du Soleil, où Il travaille depuis 30 ans. Toutefois, les données biographiques sont uniquement les colonnes de soutien du discours sur la nature de ce Sois étrange, qui passe sa vie à faire semblant de l'Autre. Qu'est-ce que c'est que d'être un acteur ? La réponse de Durozier à cette question apparemment simple se traduit par leçons sur l'humanité de l'interprète, son caractère permanent faire face à l'ego, la responsabilité de l'engin, le comportement d'une intervention éthique. Mais une réponse qui n'est pas limitée mot, à l'exposé des concepts, est dans le geste, dans l'expression de l'orateur. Son explication de l'utilisation du masque, par exemple, est abondante dans les détails techniques et aboutit à une démonstration précieuse d'un masque de commedia dell art placé sur le visage d'un interprète qui le domine. Un autre moment magique de la conférence, où le corps de l'orateur collabore avec le mot pour le bien de la compréhension – et le plaisir esthétique de l'auditeur, c'est quand il fait référence à la pensée hindoue sur le monde comme une mise en scène de Shiva. Le discours dans son ensemble est plein d'images poétiques qui éloignent la conférence de l'acte académique Et en faire vraiment un spectacle. Un spectacle rare, où le caractère et l'acteur se rencontrent en harmonie absolue et en parfaite paix.
Travail indispensable à tous ceux qui militent dans le théâtre, être des acteurs, directeurs, techniciens ou théoristes, depuis leur expérience vivant et exemplaire d'un artiste est ce que l'on voit dans la scène dans une rare manifestation de l'intelligence, de la connaissance et de l'amour de la profession. Mais à la les personnes dont la relation avec le théâtre n'est que spectateur, Il ne sera pas moins excitant de voir ce spectacle, où le Le rapport des choses réelles d'un engin ouvre les vannes de l'imaginaire Et laisse la poésie couler. Par Sebastiano Milaré
La présence de Durozier et sa brillante performance dans "Word de l'acteur" marque sans aucun doute l'un des points forts de ce 15e Festival Récif du Théâtre national.

TRANSITIONS, 09/02/2013
Parole d'acteur, Maurice Durozier: Au Thâtre du Soleil du 7 au 17 février 2013
Maurice Durozier porte la mémoire d'une histoire, la sienne et le fils de l'histoire du théâtre du Soleil. Il a de joué de l'Université de Rio nombreuses entre ses murs aux côtés d'Ariane Mnouchkine et évoque ce passé qui est encore un présent avec une certaine émotion dans la voix. Qu'est-ce que je suis » ? Quand l'acteur en lui est-il ? Quel est ce monde à part dans lellel il bute à s'enfermermer? Saint-E. pour Est-il difficile de sortir d'un r rôle ? Les fusent et trouvent sur sc?ne le temps et l'espace de votre réponse. Elles viennent néanmoins plus long et de plus avant-car, explication-t-il, le spectacle s'est forgé au Crecton Brésilien avant d'arriver en France pour la rétro?repi cette année. Sous-ensemble fiction, une conversation avec sa fille, c'est plus bienu public qu'il s'adresse toujours. D'unirs porte ouverte, une principale, sa sc?ne est este souhaitablee. Et il n'est pas chahison à Bruncre la barri?re de feu en serre nous un thé chai au milieu de la représentation. On se senti bien avec Maurice Durozier, loin des les mimotions et de la sidération tragiques, sur est tout à fait comme Chez soi. Cette voie à l'autre qui est aussi quete et requête infuse permanent jusque dans sa conception de l'acteur : posé undé nous dit-il, dépossédé, qui l'évangile en soi. Et c'est ce qu'on caillère pour voir, quelques personnages savoureux : un metteur en sc?ne en cours, un polichinelle amoureux, une danseuse hindoue. La peine entrevus, sur ne les pas le pass ti?tre sans pointe de regrets. Ce'est pas le lieu ni l'espace sans doute; à l'autre sc?ne, Il faut nous rajeunerer sualement. C'est donc un homme en pleine possession de son corps, ses mots, de son passé qui relit ses trente- années sur les planches pour en pneuque quelques pépites à faire briller vous êtes dans les yeux. Il nous libre d' confession théâstrale d'une l'essentiel de syncérité. "Vous êtes ce que vous splenz , , la phrase glanée au cours d'un voyage simplique, simplement compétent en vue d'avoir germé. Générosité et authenticité est peut-être Les ma?tres-mots de leen qu'on si plaira à nom : le samoura shakespearien. Tiphaine Pocquet

​

EL PAIS 22/02/2013
La noche solaire Prospero
Maurice Durozier propose une leccharion de amor al teatro en su apasionante Expositions de "Palabra de actor"
La Barraca, compa?ia qui diffuse des ninostrauxosicos par pueblos recuss, figure en el imaginario collective parce qu'il fue une initiative institutionnelle menée à la fin par Garcia Lorca, paro nadie si acuerda des deceres dépeue ce hicieron un équivalent de travail, par vocacion y para ganarse el pan. En Bruleur de planches, Maurice Durozier dramatiz la historia de sus ancêtres: cinq generaciones de comics marchant entre 1830 et 1963 peinaron Francia con-théers portatif. En Palabra de actor, apasionante talk off theoretched anoche, Durozier habla de su vocacion y de la realidad parallèle à ce qu'il s'agit d'acteurs capables de créar.
ROLE DE L'ATRImère ? "El actor puede ser laico, pero el teatro ess métaphysique. La Iglesia Catholic excomulgaba a la bande dessinée. « Portqué mis abuelos fueron enterré comme perros ? » la question. La respuesta est en el acta devuncion de Henri Clavel, que en 1756 fue enterrée dans des tras sacrés jurent devant le notaire que su profesinon es un un christian, y que Si Dios le devolvaca la lundd renoncerait l'ejercéral. « Huboo d'apostasis de l'apostasie de la part de l'office, comme vous d'un religion s'il avait traité. Pour La Iglesia, solo Dios puede incarné. Qu'un personaje se incarne en el cuerpo del actor es taboo», observe Durozier, en deuil, Con la melena y la barba canas, cual Propero surgiendo de la pluma de Shakespeare, pouvoir conscient de sa magie. « El Islam lo proh'be, pero el teatro es mucho antiguo que tous sont des monothéismes. Pendant le su leccion de amor con-sculas, Durozier pasa rapide magazine a sus 33 a?os de trabajo en el Théâtre du Soleil, fascinante compa?a commandée par Ariane Mnouchkine. "Vous les connaissez comme si j'étais là-bas un peu par les "J'ai aimé", je les ai dit, "Vous les connaissez, je les connais, je les connais comme des ", je les connais," que vous ere actor la primera une fois el personaje te posee, y es el directeur quién Vous êtes en haut et si le dernier escalon al cielo. En un con plus grand Ariane, me calcé la masque de Pulcinella, pero parecia vendeur de légumes, tige que el personaje qui habite à l'intérieur du territoire, el genio habitas la lumpara, acea que releasea", cuenta, avant de revivre le moment magique de l'akel. Vuela el tyempo, Durozier cabalga. "En un repos de Norodom Sihanuk, spectacle de 12 heures, moi fue imimposible echar mi firm en un document. Dans la supe, hast ce desmalele me. El thempo pendant les performances, casse el cours de tu propia la vie: en course pour vous. Le temps ailé Es. " JAVIER VALLEJO